Gilbert LAFFONT et André VERDIER sont cousins.
Le premier est Puylausicais, le second Parisien.
Leurs grands-parents communs, les VERDIER, sont issus d'une longue lignée qu'André, d'une plume alerte, nous donne à connaître sous forme de nouvelles.
Avec une patience infinie et une bonne dose de talent, il a transformé des archives arides ou presque illisibles, en petits tableaux vivants et colorés, composant une véritable saga familiale.
A travers leur histoire, nous suivons celle du village de Puylausic.
Merci de nous faire partager votre remarquable travail !
De mémoire d’archives, la famille VERDIER a été présente sur Puylausic pendant plus de quatre cents ans, de 1545, où apparaissent un Jean et un Bertrand Verdié sur un acte notarié, jusqu’en 1985, qui vit disparaitre Agnès Laffont, la mère de Gilbert.
Deux de ses membres ont laissé leur trace : Jean, qui participa à l’élaboration du Cadastre de 1686, et surtout le Curé Dominique, qui construisit l’église actuelle entre 1758 et 1763.
André Verdier est un neveu d’Agnès. Dans les années 1940, il passa quelques bonnes vacances d’été chez sa tante, où il connut les aspects les meilleurs du travail de la terre d’alors : la garde
des vaches, la moisson, les vendanges et la récolte du tabac.
Ingénieur, mais aujourd’hui retraité, il habite la région parisienne.